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2 novembre 2012 5 02 /11 /novembre /2012 06:00

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Je vous vois lever les yeux en vous disant "encore un QCM ??!".

Eh oui mesdames, encore un QCM car en ce moment, c'est le type de billets qui m'inspire le plus pour me "moquer" de certains livres...
A noter que ce billet (QCM) est particulièrement long (encore plus que d'habitude, c'est pour dire) et pour cause : j'aurais pu souligner tout le livre tant il est mauvais / cliché / à pleurer / à rouler des yeux (et ne barrer aucune mentions, elles sont toutes utiles). Heureusement pour vous, j'ai abandonné à la moitié. (enfin en même temps, vous auriez juste eu à ne pas lire ce billet jusqu'au bout...)(ce que vous pouvez encore faire).
Bref, trêve de blabla, c'est parti !

 

1) Les héros de cette daube livre s’appellent :

a- Jacob et Rachel et les parents de Jacob s’appellent Abraham et Sarah.
b- Jaquie et Corbier et ils font l’amour devant Dorothée.
c- Jacob et Bella et l’auteur est une grosse frustrée de Twilight.

Indice : L’auteur a manifestement lu la bible vu que les personnages s’appellent Jacob, Noah, Ruth etc… mais ce n’est pas la réponse a.

 

2) Jacob :

a- est plus que beau : « Il était bien plus que beau. Beau est un adjectif masculin commun, limité, voire insipide. Cet homme était simplement sublime. » (ou comment les détails à chaque phrase m’ont tuée),
b- est mince et athlétique, il était musclé et ferme aux bons endroits (et elle ne parle même pas encore de son sexe là…)
c- a une voix chaude, virile, sensuelle et vivante (rien que ça), et il donnerait des frissons à n’importe qui, même à une femme insensible. (ce que Bella n’est pas, je vous rassure).
d- a des traits si élégants qu’ils incarnent la noblesse même. (Et moi qui croyais que c’était aux titres qu’on définissait la noblesse des gens : je ne savais pas que c’était à l’élégance de leurs traits)(on ne me dit rien !)
e- A une longueur angélique de cils qui contraste avec son expression sévère (Je suis pas sûre de comprendre en quoi la longueur de cils peut contraster avec une expression ?). (Et du coup, est ce que ça veut dire que les cils courts ne peuvent pas contraster avec une expression sévère ? Dans ce cas: je crie au racisme envers les cils courts !).
f- Toutes les réponses ci-dessus sont justes.
 


3) Trouver l’affirmation fausse sur Jacob:

a- Rien chez lui n’était à jeter, et pour ne rien gâcher il parlait avec un accent européen hongrois ou croate (une américaine qui sait reconnaître un accent hongrois, moi, je dis, c’est vraiment fort), riche et élégant, tout comme lui (et ben, ils font bien la pair, son accent et lui, à être riches et élégants). Calme, gracieux, et flegmatique, il transpirait la confiance en lui et le danger sous-jacent (Moi je ne rencontre que des hommes qui transpirent de l’eau et sentent après la transpiration : life is a bitch).

b- A des yeux noirs et tourmentés (pauvres yeux, ils se font du soucis), et quand il épouse de toute sa puissance virile (ça peut-être virile une puissance ?) les courbes plus douces et souples d’Isabella, il est si bien bâti, chaque muscle s’articulant à la perfection (s’articulant avec quoi ?)(entre eux ?), qu’elle le sent vibrer d’énergie.

c- Il incarne l’autorité et la vigueur (lol) et son odeur et musquée et épicée (ça sent quoi une odeur épicée ? Le poivre, les 4 épices ou le curcuma ?).

d- Son allure est féline, majestueuse, pleine de grâce et de détermination (Oui l’héroïne n’a que ça à faire que de trouver des adjectifs pour parler d’une démarche)(ceci dit j'avoue qu'une démarche féline, gracieuse et déterminée vaut la peine d’être décrite).

e- Ses paumes sont d’une douceur virile (Ne me regardez pas comme ça hein, c’est pas moi qui ait inventé ça). 

f- A, comme élément qui lui est lié, la terre : « Le destin a voulu que j’appartienne à la terre, Bella, lui susurra-t-il à l’oreille (c’est si sexy comme phrase à susurrer)(on en aurait des orgasmes). Je peux manipuler la gravité, communiquer avec toutes les créatures vivantes (utile), et bouger les plaques tectoniques à ma guise (ce qui est quand même hyper pratique, il faut bien l’avouer)(- c’est quoi ton don ? - Je sais bouger les plaques tectoniques. –Ah ok, chouette, écoute je dois te laisser, tu sais où je peux trouver superman ?). Je peux provoquer la germination d’une graine par la simple pensée ou au contraire la faire pourrir et mourir. Je suis capable de ressentir l’énergie vitale de tout être né de la terre. Armé des sens accrus des prédateurs les plus accomplis, je peux chasser tous ceux qui parcourent ce monde. Je suis la nature. Elle et moi ne faisons qu’un (wow, this is so sexy Jacob !).

g- Jacob a une petite bite (non je ne m’en lasse pas).

 

4) Isabella est :

a- Une petite chose fragile aux formes généreuses, menue mais dotée de courbes féminines là où les hommes les appréciaient (elle vient pas de dire deux fois la même chose dans la même phrase ?). Le clair de lune rehaussait son teint diaphane parfait comme celui, presque translucide, de certains Nocturnes qu’il avait pu croiser au cours de son existence pluriséculaire (ou comment la traductrice a voulu placer un mot recherché).

b- « Elle offrait une vision époustouflante: des formes généreuses si prometteuses pour une silhouette si frêle. Une magnifique poitrine plantureuse, une taille de guêpe, des fesses fermes et rebondies. (oui ces deux phrases veulent dire la même chose et oui elles répètent le point a)(mais que voulez vous, l’auteur doit vraiment vouloir qu’on comprenne que Bella est petite, mince aux gros seins). 

c- Elle avait des cheveux noirs ondulés, incroyablement longs et épais. (et soyeux of course). Ses traits étaient fins et délicats, sa bouche pulpeuse, ses yeux immenses comme ceux d’un enfant innocent (Mon fils n'a pas les yeux immenses, serait-ce pour cela qu'il n'a rien d'innocent ? CQFD ?).

d- Dotée d’une poitrine généreuse (au cas où le lecteur manque de vivacité, on préfère lui répéter).

e- Exhalait des effluves doux, propres, et d’une exquise pureté. (son odeur est pure, nous voilà rassuré). 

f- elle se mouvait de manière fort alléchante, avec langueur et vulnérabilité, comme une chatte. (Personne ne me dit jamais que je meus avec vulnérabilité et langueur: why that ?!).

g- Avant de rencontrer Jacob « elle menait une existence paisible et douillette, un parfait stéréotype de la bibliothécaire célibataire qui en devenait pathétique. Elle possédait même les deux chats requis » (sympa pour les bibliothécaires. Et pas cliché).

h- Toutes les réponses proposées sont (malheureusement) justes…



5) Ses yeux sont :

a- Violets aux reflets violets électriques.
b- Violets aux reflets lavande à la faveur de l’astre d’argent (la lune quoi). 
c- Les deux, même si le violet électrique et la lavande ne sont pas la même couleur (mais l'auteur ne savait plus comment décrire le violet (à chaque page)(améthyste est également cité je vous rassure).

 

 

6) Trouver l’affirmation fausse sur Bella,

a- Elle a son baiser qui a un goût sucré, doux, incroyable, délicieux comme un fruit défendu (vous pensez que Jacob est en fait Adam, vu que c’est le seul (de ma connaissance) à avoir goûté à un fruit défendu, et donc à savoir si il est délicieux ?)(à moins qu’il n’y ait des fruits défendus dont je n’ai pas connaissance ?).

b- Il émane d’elle une chaleur envoûtante.

c- « était si intelligente, si vive, qu’il s’émerveilla devant le fonctionnement de son esprit pragmatique. » (c’est vrai qu’elle paraît vraiment intelligente. Surtout quand elle dit : « donc, vous essayez de me dire que vous ne pouvez pas être tués? C’est bien ce que vous entendez par immortels? » (heu, oui c’est bien la définition d’immortels)).

d- De plus, elle exhalait un parfum d’innocente sensualité particulièrement enivrant. (pour gagner un michoko, c’est très simple, il te suffit de décrire l’odeur exacte de « l’innocente sensualité » en commentaire de ce billet). 

e- Est (attention à ne pas mourir choqué) vierge. 

f- « A tendance à imiter les senteurs qui l’environnaient, il l’avait déjà constaté, mais elle était aussi capable de retenir une fragrance après s’être lavée, ce qui était exceptionnel » (ce qui est exceptionnel c’est que c’est la description d’odeur la plus mythique que j’aie pu lire jusqu’à maintenant)(la jeune fille peut prendre l'odeur de n'importe quoi. C'est plus pratique pour la description en même temps, je me demande pourquoi les auteurs n'y avaient pas pensé avant). 

g- est une adepte de l’échangisme.

 
 

7) Comment Jacob appelle-t-il Bella, environ 677 fois dans le livre ?

a- Petite fleure (ce qui ne manquait pas de me faire penser à la chanson « Petite sœur » de Lââm que j’ai donc chantonnée 677 fois du coup). (Et oui, je me fatigue parfois)
b- Petite Truite.

Indice : je n’ai pas inventé le surnom de petite truite, il existe , mais ce n’est pas Jacob qui l’utilise. (mais je ne sais pas si je ne le préférais pas). 

  

8) quelle est la phrase qui m’a fait le plus rouler des yeux / que j’ai trouvé la plus ridicule :

a) - A ta place, je tournerais la langue sept fois avant de parler, répliqua-t-il, une pointe d’espièglerie dans les yeux.
- Dans ta bouche ou dans la mienne ? (une coquine cette Bella.)

b) Jacob, qui s’abandonnait complètement, n’avait pas remarqué que, tel un automate, il s’était emparé du sein d’Isabella qu’il pétrissait (tel du pain) avec tendresse à travers son soutien-gorge (pourquoi aucun homme ne me pelote jamais sans s’en rendre compte moi?)

c) Jacob comprit que seule une sortie rapide pouvait le forcer à s’éloigner d’Isabella. C’est pourquoi il tourbillonna sur lui-même avec une grande discrétion, et s’éleva dans les airs dans une nuée de poussière avant de s’éclipser par le haut et étroit vitrail (l’auteur et moi n’avons manifestement pas la même définition de la discrétion).

d) Pas de l’alcool de mortels, mais du lait à température ambiante même s’il le préférait encore chaud. Le lait de chèvre, de brebis ou d’autres animaux plus exotiques s’avérait grisant pour les démons autant que les spiritueux pour les humains. Si le classique lait de vache du supermarché leur faisait l’effet d’un simple jus de fruits, le lait de girafe tenait plus de la liqueur corsée et originale. La puissance du breuvage dépendait en somme de la bête et de son environnement, comme la variété du raisin et le terroir influent sur le vin. (vous avez bien lu : ils se saoulent au lait)(de girafe)(oui oui j’ai abandonné le livre, je vous rassure).

e) Dans ce manoir, l’essentiel ne manquait pas. Il y avait des lampes à pétrole, les installations étaient assez modernes et disposaient de tous les agréments imaginables, à l’exception du téléphone. (suis-je la seule à trouver que les lampes à pétrole ce n’est pas hyper moderne ?). 

f) Il est par conséquent interdit à tout membre de l’espèce des démons de copuler avec des créatures de nature différente, dépourvues de forces ou de pouvoirs identiques. Telle est la loi. Le chien ne côtoie pas le chat, le chat ne côtoie pas la souris. (Logique implacable s'il en est). 


Indice : elles sont toutes ridicules, je sais, mais j’ai une mini préférence pour le lait de girafe je crois…

 

9) Quand ils font l’amour pour la première fois (trouver la réponse fausse) : 

a- Bella n’a pas d’orgasmes.

b- Ils provoquent un tremblement de terre (LOL) :
« La pièce trembla. La terre reflétait sa perte de contrôle, les tubes en verre des lampes à pétrole et les panneaux des vitraux se mirent à tinter à mesure que la secousse s’intensifiait. Jacob s’enfonça encore en elle, s’enracinant aussi profondément que possible dans le terreau sacré de son corps (sacré le terreau hein). Tout du long, le lit n’avait cessé de bouger en rythme avec les fondations de la maison (les fondations de la maison !!!!)(celle là je l’avais encore jamais lue !). »
« Jacob ne put s’empêcher de l’appeler par son prénom alors qu’il sentait la détonation de leur orgasme le parcourir. Il jouit, secoué par de violents spasmes qui se poursuivirent jusqu’à ce que leurs âmes fusionnent (oh, leurs âmes ont fusionné, que c’est beau !).Toutes les vitres de la maison éclatèrent, la tension accumulée dans leurs battants atteignant enfin le point de rupture. Jacob plaqua Isabella contre lui pour la protéger de la pluie de verre coloré qui se déversa de la rosace au-dessus du lit. » (j’ai refermé ce livre de manière définitive après cette phrase).
 


10) Parlons un peu de l’histoire (trouver l’affirmation juste):


a- Nous faisons connaissances avec les Démons qui font partis des Nocturnes. Les Nocturnes « existaient depuis que le monde est monde (et non quand le monde n’était pas monde). Ces créatures de la nuit respiraient après le coucher du soleil, se rafraîchissaient au clair de lune, et s’en remettaient à l’astre de feu pour rythmer leur sommeil. Démons, vampires, garous et autres partageaient ces caractéristiques, même si leur éthique et leurs croyances différaient parfois.
Les démons, pendant les lunes sacrées de Samhain et de Beltane, « passaient leurs nuits à lutter pour garder le contrôle. Lors de ces phases, le besoin de copuler supplantait tout le reste. C’était inscrit dans leurs gènes. Comme des bêtes en rut, ils souffraient d’une envie dévorante à laquelle ne résistaient ni le plus poli ni le plus civil des démons. »
Sauf que voilà, pendant ces lunes, les démons peuvent avoir envie de s’accoupler à des humaines mais « toute tentative de coït avec un humain était taboue. Trop fragiles, ces derniers ne survivraient pas à une épreuve aussi explosive », du coup Jacob, l’exécuteur, est chargé de suivre les démons et de les rattraper avant qu’ils ne blessent des humaines.

b- Une nuit, il se retrouve (c’est trop compliqué de vous expliquer pourquoi et surtout, franchement pas intéressant), devant l’immeuble d’Isabella qui est, penchée à sa fenêtre, en train de regarder les étoiles (le truc qui nous arrive tous les soirs quoi). Et là, c’est le drame : elle fait un mouvement brusque et tombe ! (je pense que je peux aisément qualifier cette rencontre comme la pire jamais imaginée).

c- Heureusement Jacob la rattrape. Ils vont tuer un ancien démon changé en un monstre et il la ramène en Europe dans son manoir. Et là, quand elle se réveille, et alors qu’elle vient de tuer un monstre, qu’elle connaît à peine le nom de Jacob, et qu’elle apprend que les démons et vampires existent, ils finissent à presque faire l’amour sur le bureau. « Même si elle se demandait comment elle avait pu s’abandonner ainsi, ce comportement ne lui ressemblant pas, elle n’éprouvait ni anxiété ni regret. En fait, elle acceptait la situation avec une facilité déconcertante. (c’est le moins qu’on puisse dire) :  mais il y a une explication à ça : « Elle était née avec une insatiable curiosité qui surpassait la crainte qu’aurait pu lui inspirer cette situation bizarre. » (Ah. d'accord).

d- Il ne se passe RIEN (non ce n’est pas de la mauvaise foi de ma part) après ce moment, jusqu’au moment où ils font l’amour et déclenche un tremblement de terre.
(Scène de cul absolument pas émoustillante).

e- Toutes les réponses ci-dessus sont justes.



11) Trouvez l’affirmation fausse :

a- J’ai abandonné ce livre après leur première fois, soit à la moitié pile du livre et je mérite un paquet de ça pour avoir tenu si longtemps.
b- Ce livre est bourré de descriptions inutiles, il ne se passe rien, on ne s’attache pas aux personnages, c’est ennuyeux, mal écrit, pas du tout excitant, ni émoustillant, bref je n’ai pas du tout aimé.

c- J’ai a-do-ré ce livre. Un chef d’œuvre.


Le Clan des Nocturnes, tome 1 : Jacob - Jacquelyne Franck
Editions Milady - 415 pages. 

 

Voilà, ce questionnaire est fini. Si vous avez des doutes sur les réponses, les voici :
1c - 2f - 3g - 4h - 5d - 6g - 7a - 8d - 9a - 10f - 11c. 

Et je vous invite à lire l'avis des copines qui ont aimé bien plus que moi :
Mycoton, Simi, Basset.

 

 

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14 octobre 2012 7 14 /10 /octobre /2012 07:22


charley1.jpg charley-davidson--tome-2---deuxieme-tombe-sur-la-gauche-230.jpg

Si le premier tome m’avait déjà laissé sur un très bon sentiment, je dois dire que le second tome m’a définitivement conquise !

Coup de cœur pour cette série qui est en passe de devenir ma série bit-lit préférée.

Charley est détective privé mais pas que...
Son autre job est d’être la faucheuse, c’est-à-dire qu’elle est le portail que traversent les morts coincés sur terre quand ils veulent rejoindrent l’autre monde.
C’est pourquoi, depuis l’âge de 5 ans, elle aide son père et son oncle, policiers, à résoudre des enquêtes : rien à dire, c’est plus simple de trouver les coupables quand on peut communiquer avec les victimes…
 

Elle secoua la tête et repartit. De nouveau, j’eus du mal à soutenir l’allure, à cause de mes pantoufles lapins. Je me rendis compte, dans un soupir, que je faisais trop d’exercice. J’allais devoir compenser ça plus tard avec un gâteau.


Charley, de son vrai prénom Charlotte, est une héroïne géniale. Elle est marrante, ironique, emploie beaucoup l’autodérision et se met dans des situations pas possibles.
Elle sait rire de sa situation et de ce qu’elle est et je me suis attachée très rapidement à elle. Je crois que j’aime tout chez elle, son humour, vous l’aurez compris, mais aussi ses décisions, sa façon de pensée, son rapport aux autres, son côté « j’y vais et je réfléchirai après », ses choix.


Puis j’escaladais le grillage le plus vite possible – pas très vite, donc.
(…) Les mecs donnaient l’impression que c’était vachement facile de faire ça. Moi, la seule chose que j’aimais escalader de façon assez régulière, c’était justement ces mêmes mecs.


Les histoires de fond, meurtres ou enquêtes sont toujours très bien menées et originales et on ne s’ennuie jamais, surtout qu’en parallèle il y a un autre mystère à résoudre, un mystère qui nous intéresse particulièrement… Un mystère nommé Reyes.


Et Reyes, les amies, c’est du lourd. C’est tout ce que j’aime.
Dangereux, beau, arrogant, sûr de lui mais aussi touchant et prêt à tout pour Charley dont il est obnubilé. Lui aussi n’est pas aidé question « voilà ce que je suis » et son personnage est très complexe. Ce n’est pas un rigolo et quand il n’est pas d’accord avec Charley, il n’est vraiment pas d’accord… Leur relation est touchante, compliquée, frustrante et belle.

 

- Donc, tu ne lui as pas fait du mal ?
Il me dévisagea pendant un long moment.
- Tu sais ce qui m’interpelle ?
Je flairai un piège.
- Quoi donc ?
- Le fait que tu me croies sincèrement capable de blesser des innocents sans raison.
- Ce n’est pas le cas ? Dis-je d’une voix radoucie par l’espoir.
- Oh, non, j’en suis plus que capable. Je ne savais pas que toi aussi, tu le savais, c’est tout.

 

Les personnages secondaires font quasi tous l’unanimité chez moi que ce soit Cookie, la secrétaire/meilleure amie accroc au café dont j’apprécie l’humour pince sans rire et la  loyauté, son collègue Garrett, le détective prétentieux qui a toujours le mot en trop, Ange, le jeune (14 ans) et unique associé de Charley, qui est accessoirement un fantôme, ainsi que Rocket, l’oncle Bob, la peste etc… tous ont un rôle, une histoire, une personnalité qui leur est propre mais tous me plaisent à leur manière.

 

Peut-être l’appellerai-je plus tard. Ou peut-être me ferais-je épiler le maillot par une lutteuse allemande, ce qui serait sûrement plus amusant que de parler à ma sœur au téléphone.

 

Vous l’aurez compris, je n’ai rien à reprocher à cette série : elle est originale (pas de vampires, pas de loups-garous etc), bien écrite, très marrante, les histoires sont prenantes et les personnages très attachants. Je suis sous le charme. Je recommande +++ !!! 



Charley Davidson, tome 1 : Première tombe sur la droite - Jones Darynda
Editions Milady - 415 pages


Charley Davidson, tome 2 : Première tombe sur la gauche - Jones Darynda
Editions Milady - 394 pages


 

 

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4 octobre 2012 4 04 /10 /octobre /2012 07:00

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Dans le premier tome, l’héroïne m’a autant plu qu’elle ne m’a agacée.

Je m’explique :
Maeve est une héroïne qui n’a pas la langue dans sa poche, qui ne réfléchit pas vraiment avant d’agir et qui est dotée d’un humour certes pas toujours très fin, mais qui m’a tout de suite plu. (En même temps, je ne suis pas connue pour la finesse de mon humour…). En plus de ça, mademoiselle jure, mademoiselle boit et mademoiselle couche ! On est loin des vierges effarouchées (étroite, au goût de miel, qui se mord la lèvre) et c’est tant mieux !
 

Bon mon barman jouait toujours les inaccessibles. Soit je montais sur le comptoir et déchirais accidentellement mon top, soit je me fendais de mon sourire le plus charmant. N’étant vraiment pas d’humeur à rire, j’envisageais sérieusement la première option lorsqu’une tête se pencha vers moi.
- Qu’est ce que tu prends ?

Ces aspects font d’elle une héroïne comme je les aime, une héroïne qui a du caractère…
Sauf que voilà, la miss a d’autres côtés beaucoup plus agaçants : je l’ai trouvé assez égoïste et surtout, un peu trop facilement irritable. Elle a un net penchant pour les gros mots, pour les insultes et pour la bagarre ce qui peut être énervant à la longue.
Finalement, j’ai trouvé que Maeve n’était pas forcément attachante dans ce tome (je précise car cela change dans le tome suivant), peut-être parce qu’elle-même ne se laisse pas aller à ressentir des émotions trop fortes et qui pourraient se retourner contre elle.

Question personnages, j’ai carrément détesté Elliot et Brianne qui n’ont clairement pas les réactions qu’on attend de la part de meilleurs amis. Brianne n’est pas digne de l’amitié de Maeve et ses réactions face à son petit copain violent sont hallucinantes.
S’il y a bien un personnage dans cette série que je ne sens pas, c’est bien elle.

Malgré cela, j’ai passé un très bon moment avec ce premier tome qui pose les bases de l’histoire. Et si l’action arrive un peu tard, on ne s’ennuie pas pour autant.

Alors, oui il y a des éléments « déjà vus », notamment le côté « vampire » déjà beaucoup exploité même si différemment, mais il y a également tout un aspect très novateur. Le côté Sihr et toute la mythologie autour de ces immortels, de ces mages et de la magie est très riche et très particulier. J’ai vraiment aimé cet aspect innovant et j’étais curieuse de savoir comment l’auteure allait l’exploiter par la suite (et je n’ai pas été déçue).

Finalement, oui il y a des vampires, et oui Maeve est « différente » de ce qu’elle pense être au début, et ça, c’est du déjà vu, mais les ressemblances s’arrêtent là.
Marika Gallman a su créer des personnages singuliers, (n’essayant d’ailleurs pas forcément de les rendre attachants)(au contraire ?), un univers différent, une ambiance particulière et surtout, à la base de l’intrigue il y a une prophétie, et ça aussi c’est nouveau !

Et puis, il y a Lukas. Il est clairement le personnage qui m’a le plus plu avec sa « sexytude », et ses airs arrogants et supérieurs qui cachent en réalité un passé plus sombre, des blessures et des faiblesses qui ont su me toucher.  

Enfin il y a la fin… La fin qui, sans être un supplice, nous donne clairement envie de continuer l’aventure et d’en savoir plus…


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C’est pourquoi j’ai très vite enchaîné avec le second tome dès que j’en ai eu l’occasion, et si le premier livre n’était pas un coup de coeur, je peux vous assurer que ce second tome déménage.

J’ai adoré ce tome. 
Niveau action, ça ne s’arrête pas, il y a de nombreux rebondissements et l’on suit une Maeve plus humaine, plus touchante, moins sûre d’elle et moins «  à claquer ». Elle garde cependant son sens de l’autodérision et de l’humour qui m’avaient déjà plu dans le premier tome. 

Les personnages secondaires qui sont introduits m’ont beaucoup plu ! Particulièrement Barney dont j’apprécie l’humour, Cormack et son « collier vert » ainsi que Julian et son regard innocent sur les choses qui l’entourent (bon en fait, ce n’est pas vrai : je ne supportais pas Julian au début, j’avais mes raisons… Mais maintenant je l’aime bien !)

- Il resta figé, droit comme un « i », à méditer silencieusement ce que je venais de lui dire. Il semblait toujours pas s’être offusqué du ton que j’employais.
Emmerdeur. Je détestais quand les gens n’avaient pas la politesse de s’énerver en symbiose avec moi.

Les autres personnages, que l’on avait, pour certains, déjà croisé dans le premier tome, prennent de l’importance et ont un plus grand rôle à jouer, pour notre plus grand plaisir.
Il y a, entre autre, Lala et ses monosyllabes mais aussi (et surtout) un Lukas quelque peu différent, pas forcément de très bonne humeur (c’est un euphémisme) mais toujours aussi craquant…

- Depuis le premier où je t’ai vue. Tu me rends fou. Toute ta force, ta fragilité. Et cette partie de toi dont tu as si peur et qui fait toute ta beauté.
Ma gorge se serrait à mesure qu’il parlait.
- Et je te hais tellement, tellement, chuchota-t-il.

Autant de personnages et de personnalités différentes qui apportent un plus indéniable à l’ambiance qui peut être parfois pesante. Car soyez préparés, dans cette série, les méchants sont cruels et insensibles.

L’histoire, quant à elle, est très bien menée, on a sans cesse envie d’en savoir plus. Dans ce tome, pas besoin d’attendre pour avoir de l’action : chaque fin de chapitre nous intrigue et nous laisse sur notre faim et la scène finale vaut clairement le détour.

 

Vous l’aurez compris : si vous n’avez pas été convaincu par le premier, vous devez laisser une chance au second !
Et si vous aviez aimé le premier, alors vous allez comme moi, adorer ce second tome !
Mais soyez prêts : La fin elle est tout simplement horrible.
Marika Gallman nous laisse frustrées, avec des questions et des doutes pleins la tête… 
Vivement la suite !
 

- C’est pourquoi il est très important que vous vous entendiez, tous les deux.
Je te demanderai donc de faire un gros effort.
- Pourquoi ? Fis-je, légèrement vexée.
Barney sourit. C’était un des sourires que je haïssais. Un de ceux qui signifiaient « si tu savais » et « tu verras » en même temps, additionné d’un « ça m’amuse déjà comme un fou ».
- Tu n’es pas ce qu’on pourrait appeler facile à vivre.



Editions Milady
Maeve Regan 1 - Rage de dents - 397 pages
Maeve Regan 2 - Dent pour dent - 480 pages

 

Et demain, si vous êtes sages, je vous fais gagner le tome 2 dédicacé !

 

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5 mars 2012 1 05 /03 /mars /2012 07:00


mordre vous va si bien

4ème de couverture : 
Le maire de Chicago convoque Merit et Ethan, le maître de la Maison Cadogan. Trois femmes ont disparu après avoir été violemment attaquées par des vampires. Son message est simple : s'ils ne remettent pas de l ordre dans leur Maison, il prendra les mesures qui s imposent... Merit doit mener l'enquête, mais difficile de savoir sur qui compter. Elle ne tarde pas à se retrouver plongée au cœur de la société surnaturelle où les êtres les plus cruels sont prêts à réaliser les pires cauchemars des humains.

Mon avis :  
Voici un livre que j’ai lu il y a fort longtemps il me semble, car je ne me souviens plus de l’histoire en détail…
Ce qui n’est pas si mal finalement car je vais pouvoir faire un billet court, pour une fois ! (Je vous vois d'ici en train de penser: "ah bah elle devrait écrire tous ses billets trois mois après avoir lu les livres!) 

 

Voilà donc ce que j’ai retenu de ce tome :

- Un manque d’actions qui est quand même une caractéristique de cette série. Cependant, je tiens à préciser qu’on ne s’ennuie pas pour autant ! Les pages se tournent facilement.
- Le manque de passage « Ethan / Merit ». Mmmmh mais moi j’aime quand ils sont ensemble et qu’ils se cherchent, dommage de nous priver de leurs échanges et de la tension (sexuelle ?) qui existe entre eux et qui est présente à chacune de leur rencontre.

"- Je t'aurai dans mon lit, Sentinelle. Et à mon côté. C'est une promesse.
- Tu me provoques pour essayer de me séduire ?
- Est-ce que ça fonctionne ?"

- Pas assez de Malory ou de Catcher (mais le sixième tome devrait remédier à cela ! Cool.)
- Une héroïne, Merit, que j’apprécie toujours autant. Elle est forte, têtue, loyale et sarcastique, tout en étant sensible et attachante.
- Un personnage masculin, Ethan, qui me fait toujours autant craquer… Soupirs.
- Des répliques qui arrivent toujours au bon moment et qui sont toujours aussi drôles.
- Morgan qui est un gros connard. 
- Quelques rebondissements et passages inattendus, et quand je parle de rebondissements et révélations inattendues, je ne fais même par référence à cette :
- Fin qui est horrible, terrible, qui nous fait hurler et surtout qui m’a fait aller directement voir les spoilers du prochain tome. Tome que j’ai d’ailleurs commandé illico presto en anglais (même si il traine encore dans ma PAL !). Une fin digne de VA3 ou de Fever 3 et 4 où l'on maudit l'auteure. 

 

En bref ? Un tome un petit peu moins bon que le précédent mais que j’ai quand même beaucoup apprécié. De l’action, des rebondissements, un cliffhanger de malade, des personnages principaux et secondaires (Catcher, Mallory, Luc, Jonah, Lindsey...) très attachants. Le tout donnant une série que je continue de suivre avec un plaisir renouvelé à chaque tome.


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19 novembre 2011 6 19 /11 /novembre /2011 08:00


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Voilà un tome qui me réconcilie avec cette série.
C’est en effet déçue que j’ai refermé le second tome qui manquait franchement d’actions - à tous les niveaux. 


Dans ce tome-ci, plus d’actions, des nouveaux personnages, une offre secrète d’emploi pour Merit, des métamorphes loups à protéger, plus d’entrainements et enfin, enfin ! un rapprochement que l’on attendait plus !

Je suis défait devant toi, Merit. Complètement. Au cours de ma très longue existence, je n'ai jamais rien désiré autant que toi. 


J’ai vraiment eu beaucoup de plaisir à lire ce livre, et non (!) pas seulement pour le susmentionné rapprochement… Ahem.

J’ai eu du plaisir car Merit est une héroïne qui me fait toujours autant rire et dont j’apprécie la force de caractère. Elle ne change pas et a toujours sa langue bien pendue.
Les piques entre elle et Ethan sont également toujours présents, pour notre plus grand bonheur.
En parlant d’Ethan, je sais qu’il en a énervé plus d’une dans la seconde partie de ce livre mais moi, bizarrement j’ai compris ses réactions. Ce qui ne veut pas dire qu’elles me plaisent  pour autant, mais je le comprends. Il est à la tête d’une maison. La sécurité de celle-ci est sa priorité. J’espère que Merit le comprendra aussi ! 

Il se tenait près d'elle, les bras croisés. Et m'observait.
Puis sa voix résonna dans ma tête.
- Merit.
Il appelait mon nom en silence alors qu'il se tenait à côté d'elle.
- Sire ? 
Ses yeux étincelèrent.
- Ne m'appelle pas comme ça.
- Je n'ai pas à t'appeler autrement. Tu es mon patron. C'est l'accord que nous avons passé.  


J’ai eu du plaisir car j’aime toujours autant les personnages secondaires comme Lindsey et Luc qui jouent au chat et à la souris, Catcher, toujours aussi sarcastique mais attachant à sa façon, Mallory qui apprend toujours à gérer ses propres pouvoirs, Jeff qui a toujours le mot pour rire, et j’en passe…

Catcher ricana.
- Les heures qu'on ne passe pas à jouer au Twister à poil sont des heures perdues !
- Ouais, confirma Mallory en le tirant dans l'allée. Au fond, c'est un grand romantique.  


Enfin, j’ai eu du plaisir, car il y a plus d’actions et de rebondissements dans ce tome 3 que dans les tomes précédents : La garde rouge et un certain Jonah veulent intégrer Merit dans leur organisation, les meutes de loups les plus importantes du pays se réunissent à Chicago et ne sont pas d’accord entre elles, ils s’entre-tuent, les vampires sont menacés, surtout Ethan et Merit qui ont accepté de défendre la meute de Gabriel, et enfin, notre héroïne apprend dans ce tome à contrôler et améliorer ses forces.

Ah ! Aussi, je ne sais pas si vous avez remarqué mais les personnages de cette série hausse CONSTAMMENT un sourcil ou les sourcils. Tous et Tou-jours. Je me faisais la reflexion depuis le tome 2, au point de ne focaliser que la dessus jusqu'à ce que Merit et certaines filles de sa maison se retrouvent autour d'un verre:

- Eh bien, Sentinelle, je ne pense pas que nous révélions un grand secret en disant que notre Maître, Ethan Sullivan est un peu... 
- Particulier, finit Lindsey. Il est très très particulier.
- C'est aussi un être routinier, expliqua Margot, pétri de tics et d'habitudes. De bizzareries qui peuvent agacer.
- De temps à autre, nous nous retrouvons et passons un moment - tout à fait cathartique - à nous décharger du poids de ces bizarreries qui nous tapent sur les nerfs.
Les coudes sur la table je me penchai en avant.
- Et de quelles bizzareries parlons-nous ce soir ?
- La première sur la liste, c'est le haussement de sourcils.  

 

En fait, tout ce qui m’a plu dans le premier tome se retrouve dans ce livre et ce qui m’a déçu dans le second a disparu. Verdict : Outre le fait que je suis curieuse d’en apprendre plus sur la mystérieuse prophétie dont parlais Gabriel à Merit, je continue sans hésiter la série avec le 4ème tome qui sort début décembre en France.  

D’ailleurs, à ce propos : AVIS A LA POPULATION : pour celles qui lisent en anglais, j’ai ouïe dire que la fin du tome 4 est difficile, voire horrible, je vous conseille donc de faire comme moi et de commander le 5ème tome en VO histoire d’enchaîner ! :D

 

L’avis de Mlle Pointillés qui l’a lu en même temps que moi et dont je partage l’avis.  
Ceux, aussi positifs, de Fée Bourbonnaise, Sofiaportos, Azariel et Belladouce

 

 

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2 novembre 2011 3 02 /11 /novembre /2011 16:18


Raphael 1  Raphael 2

Pfffu, franchement, ces livres sont super durs à résumer. Je crois que c’est pour ça que j’ai mis autant de temps à faire mes billets sur cette série que j’aime pourtant particulièrement.
Bon je vais tâcher d’être le plus clair possible.
Si je vous perds après les premières lignes, passez directement à mon avis. Après tout, l’histoire on s’en fout, l’essentiel c’est Raphael… (vous apprécierez la rime).

Bon alors… 
Dans le monde d’Elena, les archanges sont les plus puissants, les plus dangereux, les plus craints. Ils sont âgés, sont peu nombreux, ils dominent le monde. 
En dessous, hiérarchiquement parlant, viennent les anges, plus nombreux, et aussi, relativement dangereux.
Ce sont eux qui transforment les humains en vampires. Vampires qui doivent, après leur transformation, être « à la merci » des anges qui les ont transformés pendant quelques années.
Si un vampire décide  de s’échapper ou de ne plus écouter l’ange qui l’a transformé, ce dernier fait appel à la Guilde, et donc à des chasseurs de vampires qui doivent les retrouver et les ramener à leurs maîtres. 
Elena fait partie de ces chasseurs. Elle est la meilleure d’entre eux car elle est née avec la faculté de traquer et de sentir les vampires. 
Quand l’archange Raphael (comprenez, le potentiel du livre, soupirs) fait donc appel à elle pour retrouver non pas un vampire, mais un autre archange, la mission d’Elena lui semble impossible. Pourtant ce n’est pas comme si Raphael lui laissait le choix, et quand monsieur veut, il obtient…  (Ha la la… je l’aime.)

Il est assez difficile de parler du second tome sans spoiler donc je ne vais pas vous parler de l’histoire. Sachez seulement que si j’ai continué la série, et que je l’aime toujours, c’est que Raphael est encore présent… Je crois que l’essentiel est là. Finalement pas besoin de plus long résumés, si ?

 

Mon avis… 

Vous l’aurez compris : J’aime beaucoup.
Elena a du caractère et du répondant (ce que j’apprécie particulièrement chez ce genre d’héroïne.) Elle tient tête à l’archange et sait où elle va et ce qu’elle ne veut pas. Les dialogues entre elle et Raphael sont explosifs, tout comme leur relation et leur attirance. Rien que ça, moi, ça me fait fondre.


Raphael quant à lui, est beau, sûr de lui et dangereux. Exit le gentil héros à la Peeta ou à la Edward (je compare l’incomparable SI JE VEUX, non mais.) Place à un archange qui n’hésite pas à faire du mal si il le faut.
Vous connaissez mes goûts, entre Bones et Barrons, vous ne serez donc pas étonnés de savoir que ce qui m’a le plus plu chez Raphael c’est son côté arrogant, et sûr de lui, son côté « tout m’est dû ». Et aussi son côté ultra possessif tiens.

Les personnages secondaires, des anges, des chasseurs, des humains et des vampires ont tous leur place dans l’histoire, on ne s’ennuie pas quand ils apparaissent, et  pour certains, on a vraiment envie d’en savoir plus.

Niveau action, il ne se passe pas non plus 1000 trucs. Pour être honnête, ce n’est même pas très passionnant pendant les 2/3 du livre, mais finalement, ça ne m’a pas du tout dérangé et ça ne m’a pas empêché de tourner les pages à toute allure et de dévorer ces livres en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. Car l’atmosphère et les personnages ont suffit à m’accrocher sans que j’ai besoin de bastons toutes les dix pages pour alimenter mon intérêt.
Ceci dit, quand l’action arrive enfin, je l’ai trouvé bien menée et prenante.


En réalité, le seul bémol que je trouve à ces livres et qui aurait pu me rebuter si il n’y avait pas eu tous les aspects positifs (entendre : principalement la relation Raphael / Elena (oui je suis une obsédée)), est la vulgarité.


J’ai trouvé que ça s’améliorait vraiment dans le second tome mais c’est vrai que dans le premier, certains mots sortent un peu de nulle part. Le style est pourtant assez bon, on n’est pas dans la confrérie avec ses « putains » à tout va et son manque de négations à pleurer.
Ce qui fait que, du coup, quand on lit le mot « bite », comme ça, un peu sorti de nul part, c’est choquant et dérangeant.
J’ai trouvé dommage l’utilisation de ces mots car finalement l’auteur n’a pas besoin de ça pour qu’on apprécie son livre. En trouvant d’autres mots pour illustrer ses propos, elle aurait tout eu à y gagner.
Mais franchement, c’est un bémol que je suis arrivée à surmonter sans trop de problèmes car déjà ils n’apparaissent pas trop régulièrement et aussi parce que le reste de l’histoire efface ces passages rapidement.

 

En d’autres termes, j’ai passé un excellent moment avec ces livres : j’aime la mythologie de ces anges, j’aime les caractères ni tout noir ni tout blanc des personnages ainsi que la relation entre Elena et Raphael qui a su me toucher (Et me faire râler).
J’ai aimé, dans le second tome surtout, apprendre à les connaître plus, à en savoir plus sur leurs passés et leurs blessures, les voir se livrer peu à peu, avec réserve.
Et j’ai aimé l’histoire. 

Alors non ce ne sont pas les livres du siècle, mais franchement, est-ce que c’est ce qu’on demande à ce genre de livres ?
Une chose est sûre, Raphael et Elena, c’est comme Bones et Cat, je risque de lire chacune de leur aventure (surtout que chaque tome a une « vraie » fin).
Un coup de cœur ? Non. Un très bon moment, sans prise de tête ? Oui.
 

Il me semble que Cora a un peu le même avis que moi sur ces livres ???
(si tu veux laisser un commentaire avec ton avis, ou que je le rajoute ici, feel free).

Pour les avis de Silverlining, avec qui Cora et moi avons lu le second tome, et qui n’est pas accroc à Raphael, (ah la la…) c’est ici : premier tome / second tome.

Et l'avis (très) négatif de Clarabel : CLIC.  

 

 

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24 septembre 2011 6 24 /09 /septembre /2011 00:10

le-baiser-de-minuit-lara-adrian 

Yumiko avait bien aimé, voir préféré ce livre à la confrérie. Du coup je me suis dit Bingo. Je vais pouvoir continuer mon étude over sérieuse avec Karine sur les hommes dans ce genre de romance, et, en plus, je vais le faire sur un livre mieux écrit et plus intéressant que ceux de la confrérie…

J’avoue que bon, en fait, j’ai trouvé ça pire… Et pour celles qui me suivent, vous savez que ça veut dire beaucoup !  (pour celles qui ne me suivent pas régulièrement : voilà ce que je pense de Kholer, et de Zadiste).
Ceci dit, et car je ne suis que partage, je compte offrir mon exemplaire de ce livre à celle qui répondra juste aux questions suivantes.
Ne me remerciez pas. My pleasure.


Avertissement
: certains propos à venir sont interdits aux moins de 18 ans.
Avertissement bis : Ce billet n’est pas ce qu’on pourrait définir de fin ou subtile. Je dirais même qu’il est plutôt lourd. A l’image du livre quoi. (ce n’est bien sûr pas mon humour qui est lourd).
 

1. Cette couverture est hideuse à cause :

a. Du vert fluo qui fait mal aux yeux.

b. Des chauve-souris blanches sur fond de buildings New Yorkais (sachant que l’histoire ne se passe pas là bas.) (et qu’il n’est pas question de chauve-souris dans cette histoire) (pour cela, je vous invite à lire Insatiable de Meg Cabot).

c. De la jeune fille qui a l’air complètement stupide en essayant de faire un regard « de dessous » « paupières mi-closes » qui se voudrait, j’imagine, excitant (?). (je ne sais pas pourquoi elle n’est pas en train de se passer la langue sur sa lèvre inférieure, ça irait pourtant parfaitement avec le regard).

d. Car c’est un Milady. Et qu’un milady avec une jolie couverture ce ne serait plus un milady.

e. Cette couverture est hideuse à cause de tous les points sus-mentionnés.


2. Le héros, Lucan a : 

a. Une voix qui caresse les sens de notre héroïne comme un velours sombre et chaud. (Le velours sombre et chaud caresse t-il également vos sens Mesdames ? Et si oui, expliquez en quoi un velours moins sombre et plus tiède caresse moins les sens ? )

b. Un parfum qui réveille en Gabrielle quelque chose d’élémentaire, de primal, qui l’attirait (je crois que l’on sous estime la portée aphrodisiaque des odeurs, vraiment).  

Notre héros ne sent pas l’eau de cologne (en même temps tous les hommes ne sentent pas l’eau de cologne j’ai envie de dire) mais une légère odeur de menthe, de cuir, ainsi qu’autre chose de plus obscur ; comme une épice exotique qu’elle n’aurait su nommer. (c’est vrai que les épices exotiques ont toutes un quelque chose d’obscur, c’est bien connu) (bon j’avoue que si tous les hommes ne sentent pas l’eau de cologne, ils sont quand même plus nombreux que ceux qui sentent la menthe, le cuir et le curcuma).

c. 2m de muscles solides et de pure vigueur masculine  (je répète : de pure vigueur masculine) (et on ne parle même pas du sexe là hein) des bras puissants,  d’épais biceps et un sexe velouté et massif (oui velouté le sexe, et alors ? C’est pour aller avec la voix de velours sombre et chaude) (vous remarquerez que je ne fais pas de commentaire sur l’adjectif massif) (mais je n’en pense pas moins, comme vous vous en doutez.)

d. Toutes les propositions précédentes sont justes.


3. Trouvez la fausse affirmation:
Gabrielle, notre héroïne :

a. A été ballotée d’un foyer à un autre durant toute son enfance… (ouh mais que c’est original ! c’est bien la première fois qu’on nous le fait, tiens, le coup de l’enfance difficile).

b. Est une femme aux cheveux de feu (rousse donc) et à la douce beauté d’albâtre (avez vous remarqué que ce mot revient systématiquement dans les livres du genre ?) (je m’interroge donc sur le pouvoir d’excitation de ce mot).

c. A un ami gay, car une héroïne cool se doit d’avoir un meilleur ami gay.

d. Dort nue. (on ne sait jamais, si un inconnu au sexe massif décidait de passer par là lui faire un cuni pendant qu’elle dort et bien, au moins, il ne la réveillerait pas en la déshabillant). (conclusion, dormez nue les filles, vous aurez 50 orgasmes sans même vous réveiller. Magnifique, non ?).

e. A l’odeur du Jasmin. « Le jasmin, songea t-il, retroussant les lèvres en un sourire malicieusement appréciateur. Fleur exotique qui n’ouvre ses pétales odorants qu’à la sollicitation de la nuit.  (j’espère que vous appréciez la richesse des métaphores autant que moi) Ouvre toi pour moi, Gabrielle. » (Oh oui Gabrielle, fleur de Jasmin, ouvre toi pour Lucan.).

f. Aime couper les steaks des guerriers vampires qui ne voient plus bien.


4. Il suffit à notre héros de dévisager Gabrielle pour que celle-ci :

a. Sente une chaleur se loger dans son ventre, semblant émaner de son regard, direct et intime et formant ainsi une image dans son esprit : elle et lui dans sa chambre à coucher nus et enlacés sous le clair de lune.  (ce sont les yeux gris ça, ça fait souvent cette effet là).

b.  Aie envie d’un sundae caramel, avec des pépites de Daim dessus.


5. Quand notre héroïne comprend enfin, après 277 pages, que le mâle qui lui a donné environ 678 orgasmes  (en 2 nuits d’amour) est un vampire, que fait-elle ?


a. Elle sort la croix en pendentif qu’elle n’a pas porté depuis sa première communion.

b. Elle attache des gousses d’ail sur les portes.

c. Elle remplace un flacon de bain douche par de l’eau bénite.

d. Les propositions a b c sont justes.

e. Non l’auteur n’a quand même pas osé mettre dans son livre tous les clichés du genre, précédemment cités.

Indice : si elle a osé.


6. Si les clichés ne tuent pas, le ridicule non plus.  Ainsi, d’après vous, l’auteure, qui n’a manifestement pas voulu censurer son imagination (à mon grand désarroi), a donné pour origine à nos vampires :

a. Une origine extraterrestre.  C’étaient des explorateurs. Des conquérants féroces et belliqueux qui se sont écrasés sur Terre il y a très longtemps. Leur système digestif était trop évolué pour supporter les protéines terriennes. Impossible pour eux d’assimiler les plantes ou la chair animale comme les humains le faisaient. Ils ont donc dû apprendre à se nourrir de sang.  (ah ben là c’est sûr ils n’avaient plus le choix). (ceci dit je suis curieuse de savoir de quoi ils se nourrissaient avant d’explorer la terre ?!) (vais peut-être écrire à l’auteure finalement).

b- Une origine strasbourgeoise et comme ils ont fait une indigestion après avoir mangé trop de Flammenkuch et bu trop de Gewurztraminer, ils ont commencé à boire du sang et en sont devenus accroc.

Indice : la réponse correcte expliquerait peut-être le choix de la couleur de la couverture.  (verte).
Indice bis : c’est trop bon la flammenkuch, on ne peut pas faire d’indigestion. (Et les vendanges tardives aussi, c’est trop bon. Meilleur que le sang, je pense. Et tout aussi jouissif. Bref je m’égare. )


7. Lors de la première nuit d’amour entre Lucan et Gabrielle, Lucan au comble du plaisir, va dire à Gabrielle :

a. Je voulais tant te baiser, Gabrielle. J’en ai eu envie dès que je t’ai vue. (amis de la poésie, bonsoir)

b. Ingrid, est-ce que tu baises ?


8. Quelle a été la réaction de Gabrielle a cette déclaration si romantique ?

a. Ces paroles franches et brutales - l'aveu qu'il l'avait désirée autant qu’elle- ne fit que l'embraser davantage… (…) Gabrielle sentit un torrent orgasmique l’envahir ( Un torrent orgasmique donc… rien que ça j’ai envie de dire…)

b. elle se retire et va se doucher, refroidie par les paroles crues de son amant. 


9. Question bonus, qui peut départager le gagnant du livre en cas d’égalité:
Quel gros mot « classique » n’a PAS été utilisé dans l’échange poétique ci-dessous ?

- Putain mec tu te crois où là ? Touche moi encore, fils de pute et je…
- Tu vas faire quoi connard ? persifla une seconde voix, basse et meurtrière.
- Ouais dis nous espèce de petit trou du cul de mes deux, Tu vas faire quoi ?


Voilà, maintenant que ce petit QCM est terminé, vous voulez peut-être savoir de quoi parle ce chef d’œuvre ?

Bon j’avoue que je ne m’en souviens plus trop, ma lecture a plus de 2 semaines maintenant…
En tous cas, sachez qu’il y a des gentils vampires parmi lesquels, les guerriers.
Et il y a les méchants vampire (qui ne sentent pas le talc, je vous rassure). Ces derniers sont méchants car ils succombent à la soif sanguinaire (mais pourquoi sont ils si méchants ? parce queeeeeeeeee !) c’est-à-dire, qu’ils tuent les humains pour se nourrir.

Voilà, en gros. Comment Gabrielle se retrouve impliquer dans tout ça ? Hum, là c’est vraiment compliqué, mais sachez qu’il est question d’entrepôts, d’usines, d’humains qui n’ont plus d’âmes… et de pleins d’autres choses vraiment fascinantes). Si vous voulez en savoir plus, ne me le demandez surtout pas car je ne m’en souviens plus. Par contre, si vous jouez et que vous gagnez l’exemplaire…

 

 

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7 septembre 2011 3 07 /09 /septembre /2011 07:00

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Rappelez-vous, j’avais beaucoup aimé le premier tome de cette série.
Nous avions le droit à une bonne intrigue, à une héroïne, Merit, forte, casse-cou, ironique et attachante, et non à un mais à deux potentiels masculins de haut niveau, Morgan et Ethan…

Il m’a fallu environ 6 mois et une Lecture Commune pour me faire ouvrir la suite que j’avais pourtant commandée illico presto après la fin du tome 1. 

 

Verdict ?
C’est un peu déçue que je sors de cette lecture qui manque terriblement d’actions.
Il ne se passe quasiment rien pendant tout le livre et je me suis un peu ennuyée.

Voilà pour le plus grand défaut de ce livre. Non négligeable, certes, mais qui ne m’empêchera pas de continuer les aventures de Merit étant donné que je remets le couvert avec Mlle P pour le tome 3, dès la fin de la semaine.

 

Si je déplore donc un manque certain d’actions et d'intrigue, ainsi qu'un final pas très prenant, je ne me suis toutefois jamais vraiment ennuyée au point de décrocher complètement ou de me dire que je ne continuerai pas la série. 

Je trouve l’héroïne toujours aussi sympathique et attachante. Merit est têtue, fière, elle me fait rire, tout en étant spéciale, forte et intègre. J'aime toujours beaucoup son caractère. 
Les autres personnages secondaires comme Mallory, la meilleure amie, Carter le magicien, Jeff, Lindsey ou Morgan sont tous très sympathiques et amènent un peu de « peps » à l’histoire.
Les dialogues entre toutes ces personnes sont souvent marrants et agréables. Mais ce qui m'a le plus plu, ne nous voilons pas la face, c'est la tension existante entre Merit et son « maître » Ethan qui est tout à fait excitante ! :D
J'aime leurs échanges, leurs moments, leur façon de se chercher sans se trouver... Bref les moments Ethan-Merit sont clairement les moments les plus agréables du livre. 
Je ne veux pas insinuer que je lis la suite des aventures juste pour savoir ce qu’il va se passer entre eux ( surtout que je le sais déjà, vous me connaissez, moi et les spoilers), mais presque ! 

Ethan me fait donc bien évidemment craquer. J’aime sa manière d’être: hautain, désagréable, prétentieux, mais aussi jaloux et je suis curieuse d’apprendre à mieux le connaître.

Aussi, à la fin de ce tome, l’ennemi numéro 1 de nos vampires est encore en liberté, j’ai donc quand même envie de savoir comment tout cela va se terminer et dans quelles situations impossibles Merit va encore bien pouvoir se trouver mêler !

Dans tous les cas, actions ou pas, j’ai passé un agréable moment, sans prise de tête, sans clichés, sans 3ème bras, sans cuir et rangers, et rien que pour tout ça, je vous conseille quand même de tenter cette série.


Our lips had just touched when the silence was broken. 

"Would you please stop feeling up my Sentinel?" 


Les avis de mes copines de LC: Sandy (link), Mlle Pointillés (link) et Cora.   

 

lirenvo 15

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1 juin 2011 3 01 /06 /juin /2011 08:00

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Bizarrement je n’étais pas pressée d’ouvrir ce livre…

Pourtant on parle de Bones là (Boooooooooooooones)… mais non, pas envie.

Finalement quand j’ai vu que les filles faisaient une  LC sur ce tome 4, je me suis dit que c’était le moment ou jamais de m’y « coller » (ah la la… si Bones m’entendait)…


 

Et finalement j’ai bien fait. Après ma déception sur Insatiable, j’ai dévoré ce livre.

On retrouve ici tous les ingrédients qui font que j’adore cette série :

Action, jalousie, rebondissements, sexe etc…

Une fois de plus, je suis passée par pleins d’émotions : sourires, larmichettes au coin de l’œil, stress (bon ok pas trop, vous savez que je lis la suite et la fin quand la tension monte trop. Oui bon d’accord, pas que quand la tension monte trop)…

 

 

Si Cat m’a énervé dans ce tome à n’en faire qu’à sa tête, à ne jamais écouter Bones, à ne pas lui faire suffisamment confiance, mon vampire préféré, quant à lui, reste égal à lui-même : possessif, combatif, sarcastique et prêt à tout pour Cat.

A chaque tome c’est pareil : je succombe.
Bones sait toujours comment faire battre mon petit cœur de midinette… 
J (Il conserve donc sa place dans mon top 3)

« Tu as mal compris, Tepes. Je ne suis pas venue pour la voir. Je l’amène avec moi. »

 

 

Question personnages secondaires, Vlad a ma préférence : j’ai beaucoup apprécié le revoir et le fait qu’il prenne plus d’importance. Il est puissant, il est fidèle en amitié, il est moqueur, un peu manipulateur… bref j’espère le revoir régulièrement…

 

 

Quant à l’histoire, elle est bien ficelée, pas de temps morts, pas d’ennuies, beaucoup d’actions et des rebondissements auxquels on ne s’attend vraiment pas… En 2 mots, on retrouve Gregor, un ancien vampire très puissant, aussi appelé Le Marchand de sable. Et pour cause, il est capable d’enlever les gens dans leurs rêves. Et celle qu’il veut, c’est Cat, qu’il revendique comme étant sa femme.

Qui est-il ? Cat est-elle vraiment mariée à lui ? Pourquoi quelques semaines de son adolescence ont-elles été supprimées de son esprit ? Et si Gregor pouvait lui rendre ses souvenirs et qu’il dit vrai ? Bones serait-il toujours le mari de Cat ?
Jeaniene Frost ne ménage ni ses personnages, ni ses lecteurs, et c’est tant mieux !

 

Bref un tome qui a tout pour plaire et que je vous recommande vivement si vous avez aimé les tomes précédents. Vous ne serez pas déçus.

Pour ma part j’attends la suite avec impatience !   

 

Les avis de Syl, Adalana, Azilys

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25 mars 2011 5 25 /03 /mars /2011 08:47

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Ce n’est pas un secret, je n’étais pas sortie franchement emballée de la lecture des 2 premiers tomes…

Pourquoi m’obstiner donc ? Déjà car il était dans ma PAL (ce qui est une bonne raison, vous en conviendrez), mais aussi, surtout, car de l’avis de tous (je crois pouvoir oser le toutes là), donc de l’avis de toutes, ce tome marque un tournant dans la série… Qu’en est-il ?!

Et bien oui, les amis, il marque un tournant. Déjà, Mercy fait ENFIN un choix entre Adam et Samuel (Alléluia).

Bon, certes, ce choix est loin de se faire rapidement, mais bon, hein, comment vous dire ?, rapide n’est pas exactement le mot d’ordre du livre, si vous voyez où je veux en venir.

Longueur par contre, c’est une autre histoire… Car il faut quand même que je vous raconte que pendant plus de 200 pages j’ai bien cru que ce livre serait le dernier que je lirai de cette série (mais l’avenir me prouvera le contraire… comme quoi il ne faut vraiment pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué). Bref revenons à nos moutons, heu, non à nos Faes, nos coyotes et loups-garous…

 

Zee, le Fae, ami et mentor de Mercy, est arrêté pour avoir tué quelqu’un. Le monde des Faes a l’air de s’accommoder de cette arrestation et Zee va probablement finir sa vie en prison ou pis, tué… C’est sans compter sur Mercy qui ne laisse pas tomber un ami…

 

Revenons maintenant à nos fameuses 200 premières pages qui se découpent comme suit :

-          Environ 20 pages sur le fait que Mercy est traumatisée par les vampires (cf tome précédent).

-          Environ 50 pages sur un concert que donne Samuel pendant lequel il passe, en toute simplicité, de la guitare, au piano, en passant par l’harmonica et le violon. 
Bon, ok je suis mauvaise langue, peut-être que l’harmonica n’est pas cité mais en tous cas, il joue facile de 10 instruments. Mais les talents de cet homme ne s’arrêtent là! Sam est un loup dominant, médecin urgentiste de profession, qui sait donc jouer de tous les instruments de musique au monde, il chante comme un dieu, il est beau comme un dieu, il embrasse comme un dieu, fait la cuisine comme un dieu et, fort utilement (oui utilement si je veux), il sait crocheter les serrures…

Bref cet homme à tout pour lui, on se demanderait presque pourquoi Mercy… Non je m’arrête là, je ne veux pas vous spoiler…

Moi je dis un tel homme aurait du avoir plus de 50 pages qui lui sont consacrées mais bon, c’est pas moi l’écrivain.

-          30 pages nous parle de Mercy qui trouve une avocate (anti Fae : logique) à Zee (le fae donc si vous avez déjà décroché) et donc 30 pages pour la convaincre de défendre Zee. Pour info, on ne reverra plus jamais du tome l’avocate en question, ce qui me laisse tout de même pantoise. (rien de moins)

-          S’ensuivent 50 pages d’analyse des sentiments entre Mercy et Sam : Je t’aime, moi aussi, mais ton loup ?, quoi mon loup ?, il m’aime lui ?, heu mais toi non plus en fait, mais tu me détesterais en femme, non mais mon loup a été le premier à t’aimer…
Bref vous avez compris… Notez bien qu’un ou deux bisous (non désirés par Mercy) sont échangés pendant ces quelques pages fort intéressantes…

-          Puis 50 pages sont consacrées à Jess, la fille d’Adam qui s’est fait agresser. Ce qui a rendu Adam fou de rage (on peut pas lui en vouloir). Mercy va venir apaiser les tensions et recevoir un baiser (pour la peine) (non désiré également, le baiser, mais qu’elle ne peut repousser car bon, Adam est de mauvais poil).
Note à moi-même : y’a pire quand même dans la vie, que de se faire embrasser et courtiser par 2 bombes anatomiques, sans le vouloir… Je devrais peut-être devenir mécano ?

-          Une soixantaine de pages distillées un peu partout dans le livre parleront de la dominance chez les loups. Vu que ça fait 3 tomes qu’on me répète les règles des loups en boucle, je pourrais vous faire un billet sur ces règles que je connais désormais par cœur. Mais je sens (aurais-je le flair d’un loup-garou ?), je sens donc,  la piqûre de rappel s’imposer dans le tome 4 ? C’est qu’on n’a pas bonne mémoire, nous autres, lecteurs de bit lit…

 

 

Bref, bref, bref, jusqu’à plus de 200 pages, il ne se passe RIEN, et le mieux dans tout ça, c’est qu’on a oublié Zee, (qui est, je vous le rappelle, tout de même au centre de l’intrigue du livre) et ben pendant 200 pages on n’en parle plus, on n’y pense plus, niet,  A ciao bonsoir !…

 

Et puis, et puis, vers le milieu du livre, tout s’enchaîne…

L’intrigue revient au premier plan, l’action est omniprésente, il y a pleins de rebondissements, Adam est plus présent, Mercy subit des épreuves difficiles dont elle ne sort pas indemne… et puis, elle fait finalement un choix amoureux…

 

J’ai vraiment beaucoup aimé cette seconde partie du livre et je commence enfin à comprendre l’engouement pour cette série.

Je vais donc lire la suite (et oui, tout ça pour ça !) mais j’espère vraiment que les prochains tomes ne mettront pas autant de temps à devenir intéressants, car 200 pages, c’est long quand on s’ennuie…

 

Une LC avec Deliregirl (link) et Pimpi (link).  

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- John Green est un génie...

- Swap en cours de finition ! J'ai enfin trouvé LE cadeau que je voulais absolument !

 

 

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