Chabadabada, chabadabdaba, cha-ba-daaaaaaa….
Aujourd’hui pour mon premier RDV "Le premier mardi, chez Stephie, c'est permis", je vais vous conter l’histoire de Luc et Gabrielle.
En Violet, ce sont mes résumés. Le reste du billet est tiré directement du livre, à pars certaines petites parenthèses.
Première phrase :
Luc Garner ne croyait pas en l’amour. L’amour c’était une idiotie. Des pleurs, des claquements de porte, de l’hystérie (je le soupçonne de penser que cette caractéristique est en partie de la faute de la femme), des serments éternels, une pièce montée, et tout ça, au bout, pour quoi ? Un divorce, dans la grande majorité des cas…
((Luc, à presque 40 ans, businessman richissime et super beau (course of), cherche une femme)) :
Je me fiche que les femmes modernes soient libérées, avait rétorqué Luc, l’air sombre. La seule chose qui m’importe c’est que mon épouse ne le soit pas !
Confié à des nourrices diverses et variées, il avait été privé de toute stabilité affective. Le sentiment d’abandon dont il avait souffert avait nourri en lui un mépris pour tout ce qui relevait du domaine des sentiments.
Mais une chose lui manquait : à l’approche de ses 40 ans, il se rendait compte, tardivement (qui a dit que les hommes étaient un peu long à la détente ?), qu’il n’avait pas d’héritier.
((il cherche donc une femme)) :
Mais Luc ne prêta pas attention aux jolies femmes en robes du soir…
Il cherchait l’organisatrice de la soirée, la princesse Gabrielle de Miravakia, sa future épouse. Ou du moins en avait-il décidé ainsi, même si elle ne le savait pas encore…
Gabrielle était tout simplement l’image de la distinction et de la discrétion, de la sophistication et de la classe. En fait tout ce qu’il aimait.
((ça fait beaucoup de mots en « tion » tout ça non ?)).
((Luc jette donc son dévolu sur la belle et au lieu de la courtiser, va voir le père de celle-ci. Le mariage est décidé sans même que Gabrielle ne soit au courant)).
- Ne pensez vous pas qu’il serait utile que nous nous rencontrions avant le mariage ? Avait suggéré Luc à son beau père.
- C’est inutile. De toute façon elle est d’accord avec tout ce que je lui propose.
Depuis sa plus tendre enfance, Gabrielle n’avait eu de cesse de plaire à son père, dans l’espoir d’éveiller l’intérêt de cet homme aussi inaccessible qu’insensible. Pourtant, jamais elle n’aurait imaginé accepter d’épouser un homme qu’elle ne connaissait pas, et pourtant c’est ce qui s’était produit.
((le jour du mariage))
Ils s’approchaient de l’autel… La panique la saisit… Dans quelques secondes elle ferait face à celui qui allait devenir son mari, qui serait roi à ses côtés, qui lui donnerait les enfants que la dynastie attendait. Son mari, un parfait inconnu !
Gabrielle ne s’était jamais rebellée et avait toujours obéi à son père dans l’espoir d’en être aimée. (sic) Le moment n’était-il pas venu de prendre enfin son destin en main ? Pourquoi ne pas tourner les talons ?
((finalement elle ne s’enfuit pas, ça aurait été moins drôle)).
- Oui répondit il à son tour de sa voix de basse.
((elle fait bonne figure toute la soirée et une fois rentrée, madame se dit qu’à 25 ans, c’est le moment ou jamais de se rebeller : )).
Jamais elle n’aurait cru que sa fuite serait aussi facile ! se dit Gabrielle.
Sous ses yeux, Los Angeles s’étalait à perte de vue…
Elle entendit la sonnette à travers les baies vitrées grandes ouverte. C’était certainement Uma, la femme de ménage de Cassandra.
(…)
Elle se retrouva nez à nez avec Luc.
Luc, son mari…
- Bonjour Gabrielle, murmura-t-il avec un calme qui n’augurait rien de bon. Je crois que tu as oubliée quelque chose en quittant l’île.
(…)
- J’ai oublié quelque chose ?
Il eut un étrange sourire.
- Oui, ton mari…
((Ils se disputent. Luc pas content. Luc pas content du tout. (on le comprend en même temps). La princesse, elle, ne fait pas la maligne je peux vous le dire… puis : ))
- Ce qui est fait est fait. Nous sommes mari et femme et il est trop tard pour revenir en arrière. Mais qu’une chose soit claire, il n’est pas question que notre union se transforme en mariage de convenance.
- Ce qui veut dire ?
- Nous serons mari et femme au sens biblique du terme.
((Uma arrive)).
((il lui dit de se changer, il l’amène dans un resto branché plein de journaliste)) (pour être pris en photo et démentir les derniers titres « A peine marié déjà largué » «le célibataire le plus en vue d’Europe fait chou blanc ».) (le plus en vue d’Europe quand même hein).
((Pendant la soirée: Ils dinent, elle est troublée, il se parlent et " Luc l’avait embrassé dans le cou sous les flashes des photographes")).
((de retour dans l’appartement)). ((Luc toujours pas content)) :
Il ferait payer à Gabrielle l’affront qu’elle lui avait fait subir… et il savait très bien de quelle façon… (nous aussi, on s'en doute un peu...)
(...)
- Tes seins me fascinent. Voilà si longtemps que je rêve de les caresser.
(...)
Incapable de se contrôler, Luc entra en elle. Il s’arrêta aussitôt, effaré.
- Tu es vierge s’exclama t-il !
(…)
- tu n’as pas mal ?
- Non viens. Prends-moi.
(…) Ensemble ils arrivèrent au point de non retour. Ensemble, ils crièrent leur plaisir…
(tant de synchronisation et de perfection, la première fois, me laisse pantoise d’admiration).
((les semaines passent, toujours aux USA))
Gabrielle avait cessé de prétendre qu’elle pouvait lui résister.
((Un jour une petite dispute puis)) :
- Tu veux vraiment continuer cette discussion ? J’avais autre chose en tête.
- Quoi ?
- Ceci.
Et il sortit de sa poche un écrin en cuir blanc.
- la pierre appartenait à ma mère…
(…)
- Le diamant est magnifique.
- Il est digne de ta beauté… (my my my...)
((Ils vont encore au restaurant. Il lui dit quelque chose qui ne lui plait pas. Gabrielle revêt « un masque » comme à chaque fois qu’elle est contrariée et qu’elle n’ose pas lui dire. Mais Luc commence à la connaître)).
Comment l’obliger à quitter ce personnage caricatural qu’elle s’était fabriquée, à redevenir la Gabrielle qu’il appréciait ? Brusquement une idée lui vint.
- Enlève ton slip.
- Tu plaisantes ?
- Fais le ou je le fais moi-même… Ne t’en fais pas le chauffeur ne va rien voir…
- Luc voyons tu es fou !
- Je suis peut-être fou mais c’est une si douce folie. (MOUAH AH AH AH AH).
(… … …)
- Oui murmura-t-elle dans un souffle.
(… … … )
((Ils sont maintenant à Londres, et Gabrielle se rend chez Harrods pour faire du shopping.
La un journaliste vient lui dire qu’il a une vidéo de Luc en plein ébat avec une ex. Vidéo qu'il compte bien diffuser sur internet. A moins que Gabrielle veuille récupérer le DVD contre 10000 livres. Pensez-vous. Le RDV est donc fixé au lendemain.
Gabrielle ne veut rien dire à son mari. Pour le protéger. Course of.)).
Luc était un écorché vif. Son seul désir était de le rendre heureux. C’est à cet instant que la vérité s’imposa à elle, aussi clair et limpide que le diamant qu’il lui avait offert. Elle était éperdument amoureuse de son mari…
((Ils vont au resto comme si de rien n’était)).
- On rentre susurra-t-elle à son oreille ?
(...)
- Ce soir c’est moi qui prend les direction des opération déclara t-elle.
(…)
- Gabrielle tu me rends fou. Je ne peux plus attendre…
((le lendemain, le méchant de journaliste appelle Luc et lui dit que sa femme a pris des photos d’eux en lune de miel et qu’elle va les lui donner contre 10 000 livres. Luc n’y croit pas mais il va quand même chez Harrods et là c’est le drame. Il avait si confiance en sa femme !)).
Elle ne valait pas mieux que les autres. Elle était même dix fois pire !
- Où sont les photos ?
- Je ne comprends pas de quoi tu parles !
- tu devais avoir un appareil automatique. Que tu as programmé après l’avoir placé là où il fallait. Un grand pied de nez à ton père et à ton mari par dessus le marché ! quelle belle preuve d’émancipation.
((- Mais…. Luc… Luuucccccc je t’aiiiiime.))
- Désormais nous communiquerons par avocats interposés.
Gabrielle était à bout. C’était trop de souffrance, trop d’incompréhensions… elle tomba à genoux sur le tapis et se cacha le visage entre ses mains…
((2 semaines passent, plus de nouvelles de Luc. Elle mange avec son père qui la méprise encore plus. Elle sort de ses gonds, l’envoie chier et part retrouver Luc.
Pendant ce temps, Luc se morfond à Rome… Il l’aimait tellement… sic. Il rencontre le salaud de journaliste et comprend que ce dernier s’est joué d’eux. Que Gabrielle était sincère. Comment a-t-il pu douter d'elle ?
Oh mon dieu, qu’a-t-il fait ?
Il retourne dans son appartement. Il admire la vue de son balcon. Il aimerait tellement que Gabrielle soit là. Il entend du bruit dans le couloir, puis la porte qui s’ouvre et là )) :
- Bonjour Luc. Tu es parti si vite la dernière fois que nous nous sommes vus que je crois que tu as oublié quelque chose.
- Quoi donc ?
- Ta femme, répondit-elle avec un sourire plein d’aplomb. ((ohhhhhhhhhhh comme il lui avait dit quand elle s’était enfuie, ah ah ah, bien trouvé ! Elle ne manque pas d’humour cette Gabrielle)).
((Explications, explications, pardonne-moi mon amouuuuur d’avoir douté. Je t’aime. Moi aussi je t’aime, plus que tout au monde. Moi plus. Non moi. Non mooooooaaaaa))
… ils étaient de nouveau réunis et cette fois pour toujours… Le plaisir les saisit ensemble, dans une communion parfaite, incroyable moment de partage et d’échange ((soupirs)).
((Ils vont sur le balcon)).
- quand je pense que tu m’aimes alors que je t’ai accusé des pires turpitudes sans même te laisser plaider ta cause. Comment peux-tu ?
- C’est vrai je dois être folle ! Complètement folle de toi …. (( MAIS quelle réplique de fin !)).
Mon avis :
Ne lisez pas ce livre même si il est court.
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